Matthelh
Duc / Duchesse
Messages : 17
Date d'inscription : 02/07/2016
 | | Sujet: Matthelh Ocassa, le duc parmi les sauvages Mar 5 Juil - 15:24 | |
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Informations personnelles |-Nom : Ocassa
|-Prénom : Matthelh
|-Surnom : Matt, Monsieur
|-Âge : 8 ans
|-Sexe : Masculin
|-Race : ¾ Humain & ¼ incube
Informations sociales |-Royaume d'origine : Désert
|-Royaume de résidence : Désert, pour l'instant
|-Liens: Officieusement, ce qu'il ne sait pas, c'est que son véritable père se nomme Kheldyr(PNJ) et sa mère Rubis. Son père, marchand d'esclave, lorsqu'il apprit que la fille avec qui il avait eu une aventure était enceinte, a vu une belle occasion de se procurer un poupon naissant pour son trafic. Il était de mauvaise fréquentation selon elle, elle avait mis fin à leur relation, et il n'allait pas le lui pardonner. Rubis est une héritière fort riche, qui aurait été un très bon parti pour le vagabond.
Officiellement, son père se nomme Rugbert Ocassa, sa mère Uthélia. Il ignore qu'il a été adopté, alors pour lui, ce sont ses véritables parents. Deux humains fort fortunés du désert qui, ne pouvant procréer, ont acheté un enfant, trichant le jour de la naissance et isolant la mère, pour qu'on cru à un réel enfantement. Il a un frère cadet -adopté, évidemment, même stratagème- qui se nomme Luther, 5 ans, et une jeune soeur, Kitthara, 4 ans. C'est une famille fort aimante, et fort uni. (Tous PNJ)
Autres informations |-Pouvoirs: Matt a la capacité de contrôler le sable. C’est-à-dire qu’il peut le manipuler, le soulever, le solidifier et faire des formes avec. Si le sable est mouillé, il ne peut pas le manipuler.
|-Traits particuliers: Étant un digne enfant du Désert, il a le teint bazané, et il en sera toujours ainsi, il le tient de son père biologique. Ses cheveux aux couleurs vives semblent osciller entre la teinte de roux à prendre, penchant généralement plus vers le rouge. Il se trouve qu'il a les même que sa mère biologique. En peut-être un peu plus rouge, ou est-ce la décoloration du soleil dans le Désert? Ses yeux sont bruns pâles, presqu'orangés. Il porte des vêtements amples et aux couleurs pâles pour se protéger du soleil. Il a aussi une tâche de naissance au creux du pouce bien particulière, qui forme une sorte de croissant traversé transversalement par une ligne. Comme si un croissant de lune avait été touché par un trait de cupidon.
Informations historiques |-Histoire :
Les cris fusaient dans la pièce, témoignant de la douleur tenace qui tenaillait leur propriétaire. C’était plutôt effroyable, et assez poignant. C’était un témoignage bruyant de ce qu’elle vivait actuellement et tous ceux qui en étaient témoins sentaient les frissons les parcourir, incertain de ce qui allait se passer, est-ce que ça allait bien se passer? Les cris étaient inquiétants… mais rapidement, ils ne purent s’occuper de ceux-ci davantage, car une attaque eut lieu. Dans le temps de le dire, le manoir se vida de ses occupants. La vie les quittait, un à un, jusqu’à ce que cette chambre ne renferme les seuls survivants. La porte s’ouvrit lentement sur le malheur qui s’abattait sur eux tous. La femme, tenant son poupon dans les mains, s’étaient tus, maintenant envahie par l’amour, ne ressentant même plus les affres de la douleur de l’accouchement. Rapidement, l’inquiétude prit place, face aux intrus.
Serré, tendu, le poupon sentait la pression de la pièce et éclata en sanglot, cherchant à remuer, sans grand succès. Lorsqu’il se sentit soulevé, mais retenu, il pleura de plus belles, tiraillés d’un bord et de l’autre, jusqu’à ce que la pression se relâche et qu’il se sente tirer loin de la chaleur maternelle. Il hurla de plus belle, sensible aux émotions qui l’entouraient et à la perte du confort chaleureux de sa mère. Alors qu’il s’éloignait, il entendait ses cris, qu’il oublierait. Il oublierait sa voix, son sourire, son visage. Il allait l’oublier, car son père, ou plutôt géniteur, l’entraînait loin d’elle. Car c’était son père, qui s’était saisi de lui, déclarant pouvant en faire ce qu’il voulait. Dans les bras d’une femme qui commençaient à perdre patience face à ses cris, il quitta ce manoir qu’il ne reverrait peut-être jamais, pleurant, inconscient de la valeur réelle de ce qu’il perdait.
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Ils étaient mariés depuis plusieurs années, et conscients l’un et l’autre qu’ils n’auraient jamais d’enfants. Il était infertile. Elle pouvait accueillir des progénitures, mais ne porterait jamais les siennes. Et il n’était pas question qu’un autre homme la touche. Elle voulait les enfants de son amoureux, et aucun autre dans son ventre. Ainsi, ils prirent la seule décision qui s’imposait. L’adoption. Pour eux, lorsqu’ils visitèrent la pouponnière, ce n’était que des orphelins, jamais ils n’auraient cru que certains de ces enfants étaient sauvagement arraché à leurs parents. Pour eux, quand ils appelaient leur parent en pleurant, c’est parce qu’ils étaient morts brutalement. Ainsi, lorsqu’ils choisirent le poupon, qui n’avait même pas un mois de vie devant lui, ils la choisirent, car la couleur de ses chevaux rappelait ceux de l’homme. Il était roux aussi, même si ce n’était pas dans les mêmes teintes, les gens ni verraient que du feu. Ainsi, ils payèrent, une forte somme, pour cet enfant en excellente santé. Il serait fort, certainement! La femme s’isola dans sa demeure avec l’enfant et ils entreprirent de faire en sorte qu’on la croit enceinte, afin que, quelques mois plus tard, l’enfant puisse être affiché publiquement. On acclama, on félicita.
Le clan Ocassa venait de voir naître son premier héritier et ils en étaient forts heureux! Le couple dirigeant était très apprécié, ce ne pouvait qu’être de bons parents, avec de bonnes valeurs.
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Matthelh lança un regard espiègle derrière et, avec un sourire moqueur, provocateur, il sauta en bas du muret. La gouvernante poussa un cri d’effroi et le maudit bruyamment alors qu’il détalait en riant, près de six pieds plus bas. N’avait-il pas d’os dans son corps?! Il semblait doué d’une rare agilité, fort agaçante. Elle allait s’en plaindre au chef! Mais avant… elle devait rattraper ce chenapan! Matt quant à lui avait déjà filé. Il se glissa parmi la foule de petites gens de son clan, quittant la grande demeure familiale. Ces grands murs blancs n’accueillaient que rarement le clan, mais constituait tout de même leur pied à terre. Ils étaient nomades, mais ces monuments de pierre marquaient la puissance du clan. Marchands et guerriers, ils alliaient savoir-faire, jouant avec l’argent comme personne, formant les plus puissants guerriers du territoire – du moins se plaisaient-ils à le croire – et savoir-être, fort civilisé en présence des gens du nord, sachant comment se faire apprécier, montrer de bonne manière, et s’attirer ainsi leurs grâces.
Allié à Alombria, le clan ne faisait plus affaire avec Shola, et s’en portait tout aussi bien. Rugpert avait fait quelques visites en personne dans leur immense château et s’en était toujours revenu fort satisfait. Évidemment, Matt, en digne héritier, pouvait le suivre. C’est ainsi qu’il s’était fait quelques amis, qui l’oubliaient sans doute bien rapidement, n’ayant été au château que trois fois dans sa vie. Il adorait les grandes étendues vertes et les arbres touffus! Il avait hâte de pouvoir y retourner, mais pour l’instant, il se contenterait de rejoindre l’oasis, située non loin, cette oasis immortelle –car elle ne s’était jamais tarie- était la plus grande fierté du clan. C’était aussi son petit refuge, aller sur les berges, cachés dans les buissons, à faire des châteaux de sable.
Le sable, ça oui, c’était comme ça qu’il pouvait grimper et sauter n’importe où. Ses parents, lui ayant fourni un précepteur qui pourrait l’aider, n’en parlait pas beaucoup publiquement. Ils étaient fiers, certes oui, que leur enfant puisse s’adapter aussi bien dans ce climat avec ce pouvoir fort particuliers, mais il n’était pas nécessaire de révéler cet atout publiquement. En vieillissant, cela lui permettrait d’être un guerrier redoutable! Quelle excitation! Il était déjà plutôt doué dans ses entraînements, mais il avait une fort préférence pour les activités moins violentes que le corps à corps. L’arc, et l’équitation, entre autres. Il était jeune, et s’avérait déjà un cavalier doué. Il avait hâte, d’ailleurs, de pouvoir aller gambader dans le désert, sur sa monture, avec son jeune frère et sa sœur. Il adorait sa famille. Vraiment.
|-Allégeance actuelle : Son clan voue son allégeance à Alombria.
|-Fonction : Héritier du clan Ocassa, de puissants guerriers et marchands qui sillonnent les terres désertiques. Pour les petites gens du monde dit « civilisé », il serait l'équivalent d'un fils de duc. Donc, un duc… du Désert!
- Informations Hors-Jeu:
Âge : 23 ans
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Dernière édition par Matthelh le Lun 22 Aoû - 9:16, édité 2 fois | |
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Zackeriel
Guerrier(ère)
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Date d'inscription : 04/02/2016
Feuille de personnage
Âge: 31 ans
Race: Humain / Elfe
Âme soeur:
| | Sujet: Re: Matthelh Ocassa, le duc parmi les sauvages Mar 23 Aoû - 7:18 | |
| TAH! Tu m'impressionnes, chose  Bon bah, comme je joue Rubis, je te donne donc mon approbation. *hyperventile en regardant son fils de loin*Sur ce, ta présentation est très bien et je n'ai rien à redire! Bon jeu!  PRÉSENTATION APPROUVÉE! | |
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