Surveillance de frontière(PV: NOAH)

Je surveillais la frontière des deux royaume avec Maëlys, question de lui montrer ou aller, comment le faire et quoi surveiller, car de nuit, des gens louche, il y en avait des tonnes et on avait pas le temps d'aller parler a tout le monde et on ne pouvait pas faire arrêter la circulation de tout le monde, enfaite, on pouvait, mais bon, personne n'écouterais, car certains était presser ou avait des raison propre a eux de passer qui avait aucun lien avec la guerre qui, selon moi se préparais.je vis une bande très louche, a vrai dire, c'était ceux-là que je n'allais pas laisser passé, j'avais cacher des cadavre, question d'avoir mes gardien avec moi au cas ou sa irait pas bien, je m'approcha seul des orcs, au nombre de 6, sa pourrait poser problème, mais je ne pouvais pas reculer. Je releva les cadavre et prit mon envole en désignant a mes revenant l'orc qui brutalisant les passant comme cible, a l'approche des mort-vivent, ils prirent une formation défensive... Je m'approcha d'eux, a une hauteur sécuritaire, quand l'un d'entre eux lança son gourdin sur le bouclier, une chance que je l'avais. Je sortis ma lame et mon bouclier et leur demanda de quitté la frontière ou de simplement se rendre. L'un des orcs éclata de rire. J'avança avec les mort-vivants quand nous furent a porter, je bloqua les coup seconder par mes morts vivent qui s'en prenait tous au même orc, lui offrant une mort horrible, aucune trace d'humanité ou de compassion, ce long hurlement déchira le silence de la nuit. Ses compagnon  ne l'aida pas, encore concentrer sur moi, ils essayait de m'entourer... je pouvais emprunter la voie aérienne et pas eux, ce que je fis en esquivant un autre projectile. Je remarqua un homme blesser au loins.

Je m'éloigna de lui, avec les orcs a mes trousse  et me reposa proche des mort-vivent, encore proche de l'homme blesser, je leur désigna un autre cible qui péri encore de manière horrible, dévorer vivant sous des hurlement effroyable. Nombre égal, enfin. Les autres, intimidé, dicédère de partir, du coté d'Alombria, bonne chance a l'ennemie contre ses voyous, je n'allais pas les pourchasser, les morts avait senti l'homme et se retourna vers lui avant de tomber au son, inanimé. Je m'approcha de lui, l'étudiant du regard pour voir si c'était bien grave, surement pas, ils prenaient que l'argent et partaient en général, mais sais t'on jamais. En l'examinant de plus proche, je reconnu le prince Noah, que fais t'il ici? Bref... j'avais fait mon devoir mais bon... Je m'inclina devant lui et lui dit:

-Bonjours Majesté, que vous voulaient t'ils?

Maëlys était vraiment heureuse de pouvoir faire la surveillance de frontière avec son maître. Elle aimait bien toutes les activités que celle-ci lui faisait faire car elles étaient instructives chacune à leur façon. Elle suivait Elassaria comme son ombre, tâchant de ne pas trop la déranger, mais s'osait quelques questions parfois. Du genre pourquoi elle n'avait pas arrêté telle personne, pourquoi elle agissait d'une façon ou d'une autre. Pour apprendre et pouvoir arriver à le faire seule un jour, il fallait bien qu'elle en pose, des questions. Lorsqu'elle vit les orcs au loin attaquer un humain, elle sursauta. Malgré ses 17 ans, c'était la première fois qu'elle voyait quelque chose du genre. Dans sa région natale, tout était plus ou moins calme et il n'y avait jamais beaucoup d'agression, du moins, elle n'en était pas témoin.

Maë resta en retrait durant la bataille, observant la scène. Même si elle avait voulu aider son maître, elle n'aurait pas pu faire grand chose. Elle avait tout de même sortit sa gourde d'eau, au cas où, mais elle espérait ne pas avoir à s'en servir. Ces orcs ne lui disaient rien qui vaille et elle savait que son maître arriverait à les terrasser. Elle n'était pas la chef pour rien ! Son pouvoir effrayait un peu l'adolescente. Elle n'avait pas hâte au jour où son maître voudrait qu'elle se batte contre eux. C'était... Effrayant.

Lorsque son maître eut terminé, Maëlys déploya ses ailes, s'envola et la rejoignit. En reconnaissant le prince et aux paroles d'Elassaria, Ma s'inclina légèrement devant lui. « Bonjour, votre altesse.» Elle se redressa et écouta ce que le prince répondit. Il était bien vrai qu'il était paresseux, ce prince. Mais bon, elle ne le dirait jamais à voix haute.

Elle ne savait pas trop si son maître serait d'accord pour qu'elle puisse parler ouvertement, alors elle se tut, mais elle aurait aimé lui proposer de faire le trajet de retour avec elles.

Je regardais le prince se relever et mon écuyère se mettre a genou, c'était bien le minimum et oui, je savais que les mort-vivent lui faisait peur et il lui faudrait pourtant les affronter, mais avant, elle devrait vaincre un adversaires bien plus puissant et pourtant omniprésent. Je n'avais jamais exiger le silence absolu, elle avait le droit de parler, mais je ne lui avait pas non plus préciser, allait-elle oser? Surement pas, je la regarda avec un sourire puis en revint au prince. J'avais le gout d'aller plus loin que de l'escorter, je voulais donner a Maëlys une meilleure image de la royauté, alors je réfléchissait a une possibilité pour le faire, non la royauté n'étaient pas tous des lâche et non, ils restaient pas tous enfermer entre les murs du château, mais sa restait a prouver a la jeune fille de 17 ans. J'eu une solution, mais Maëlys ne l'aimerais pas et moi non plus, mais le prince était assez vieux pour prendre la décision du oui ou du non, pourquoi ne pas terminer la patrouille avec lui et l'inviter a un entraînement de Maëlys que je programmerais moi-même et j'avais justement le thème idéal: La peur, cet adversaires si puissant que l'on retrouve dans le cœur de tout les hommes et femme de ce monde. Alors je fis ma proposition au prince:

-bonjour majesté, si vous voulez bien, vous pouvez terminer la patrouille avec nous et ensuite assister a notre entrainement, je crois pas que l'on va devoir dormir tout de suite, sauf si bous êtes vous-même trop fatiguer bien-sûr.

Quelle ne fut pas la surprise de la jeune fée lorsque son maître proposa au prince de les accompagner dans leur ronde puis d'assister à l'un de leurs entraînements.... Elle était sure que le prince refuserait. Qui aurait envie de faire cela, surtout pour un prince ?

Maelys se mordit les lèvres. Elle qui doutait de parler librement, qui ne savait pas si elle en avait le droit car son maître ne lui avait jamais dit, elle décida de dire ce qu'elle pensait.«Maître...? Ne serait-il pas mieux de  mettre fin à notre ronde et raccompagner le Prince Noah au château ?» Elle soupira et reprit, d'un ton un peu plus bas. «S'il est exténué, il devrait aller se reposer. Et on devrait le raccompagner afin qu'un incident du genre n'arrive pas de nouveau.»

En l'entendant parler de chat, Maëlys fut surprise. Aimait-il donc les chats à ce point ? Quel relation entretenait-il avec ces félins ? Elle eut un petit sourire. C'en était presque adorable, quoi. «Dans la logique de ce que je viens de dire, nous pourrions l'aider à retrouver son chat, puis le ramener au château.» Elle jeta un coup d'œil au ciel puis à son maître. Il est vrai que la nuit était maintenant déjà bien avancé, Maëlys ne s'en était même pas rendu compte sur le coup. Habituée à ne pas dormir beaucoup, elle commençait tout de même à être fatiguée, elle-même. Et elle ne croyait pas être en mesure de faire un entraînement après en plus. Elle était en forme, seulement à 17 ans, mais il ne fallait pas pousser non plus.

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Édit 16/06/16 : Faute d'une réponse rapide, le rp a été archivé. Pour le récupérer dans les forums actifs, envoyez un mp à Parandar.