C'Est dangereux ici, mais si beau.(PV: Nime)

Je m'entraînais avec des écuyers sans maître, je n'avait rien d'autre au programme pour la journée, je voulait qu'ils devienne d’excellent chevalier, malgré l'absence de maitre disponnible, je mettais les boucher double pour la progression de l'ordre, car Alombria ne nous ferait surement pas de cadeau si la guerre éclaterais et le nombre de bon soldat ferait toute la différence lors d'une guerre et en même temps, je souhaitais que nos ennemies négligerais le nombre. Je reçus un message télépathique de Jézabel, me disant que Nime était absente et que le cours avait commencé. En plus, pour une raison qu'elle ignorait, elle était partie vers la rivière.

Je la comprenais un peu, la rivière étaient un si bel endroit. Je laissa Maélys avec les écuyers pour qu'elle essaye de leur en montrer un peu puis je pris mon envol vers la rivière. La petite n'avait pas été bien difficile a retrouver, elle était seul dans les parage. Je pris mon temps pour me déposer en arrière de la petite qui avait la description que Jéza m,en avait fait. Je m'installa a coté d'elle en disant pour attirer son attention:

-Cette rivière est si belle, sache que je te comprend, mais Tu rates un cours très important de géographie. Savais tu que cette rivière est la séparation entre Shola et Alombria?

J'avais dis ça pour subtilement lui dire que c'était un peu une zone très dangereuse malgré la beauté du site observable et aussi pour qu'elle le sache, car c'était en effet le contenu du cours du jours.

J'étais perdue dans mes pensées quand une voix me fait revenir à la réalité. Je me retourne, et surprise je découvre que c'est Elassaria, la chef des chevaliers qui me parle. Je la regarde j'ai honte de la rencontrer dans ces circonstances.

-Non je n'étais pas au courant. Je déteste la géographie. Je préfère l'anglais, les maths et le français. Je sais que ce lieu n'est pas le plus sur. Mais c'est le meilleur endroit pour lire ou réfléchir.

Je ne sais pas pourquoi je lui raconte tout ça. Je ne sais pas pourquoi j'ai confiance en elle moi une fille solitaire et qui est méfiante envers tout le monde. Elle m'inspire confiance. J'ajoute:

-Et je n'aime pas mes camarades de classe. Tout ce que j'attends c'est de pouvoir devenir écuyer pour contribuer à aider mon pays. Que ce soit par ma force ma magie ou ma guérison. Shola est la seule chose qu'il me reste.

Pourquoi j'ai une confiance aveugle en elle je ne sais pas. Mais je lui fais confiance. Je sais que c'est un personne bien . Qu'elle ne me fera pas de mal. Je le sens.

Je me suis assis à coté d'elle, sans trop la regarder, mais je l'écoutait attentivement en souriant, et en regardant la rivière, elle devait déjà avoir raté une bonne partie du cours a cause du temps qu'il me fallait pour arrivé ici, mais au moins, la petite n'avait rien, c'était l'essentiel. Je sais pas ce qu'elle pense en ce moment, mais je n'allais pas la ramener tout de suite de force en classe, cette façon de faire était inutile et brutale, j'allais m'y prendre autrement avec elle et ce, en essayant d'apprendre a la connaitre pour lui inspirer le respect et la confiance tout en essayant de subtilement lui faire rattraper son cours de géographie, qui avait justement lieux au sujet de la frontière et ce, en évitant les chemin peu fréquenter, car les bandit y était plus nombreux, sans dire que nous les rencontrions a coup sur, la prudance était de mise, pas pour moi, mais pour elle.


Elle me racontait qu'elle n'aimait pas ses camarade de classe, il y avait surement une raison et je voulais la savoir pour aider Jézabel a l'aider, car mon devoir était de veillé a ce que mes chevaliers soit payé, de faire l'administration au sujet de l'ordre, de veillé a la sécurité du royaume, de mon roi et de m'assurer que la formation des écuyers était bien complète sans conter toutes les patrouille de gardes et mon propre entrainement, oui, j'avais un programme assez chargé, les congé était presque impossible, pour tout avouer, les missions étaient plus relaxante que le quotidien de la vie de tout les jours dans l'ordre, c'est un peu pour ça que je me portais volontaire assez souvent. En me voyant partir, les autres le faisaient aussi, alors sa me donnait des temps mort pour m'occuper de mes affaires et je me reposais entres les jours de voyages si sa devait durer plusieurs jours. Je la regarda en me levant et lui demanda:

-Veux-tu marcher? Sinon, je vais aller droit au but, il y a une raison qui te pousse a détester tes collègue de classe? Car, je veux dire la tolérance est un peu l'une des qualité que doit développer un chevalier pour se faire apprécié de ses frère et sœur d'arme, mais tu as le temps. Si tu veux un conseil, essaye d'apprendre a les connaitre seul a seul, souvent les gens ne sont pas pareille quand ils sont seul que quand ils sont en groupe et tu pourra avoir une autre vision des choses.

Je ne savais pas si elle avait saisi tout ce que j'avais dis, mais c'est Jézabel qui je l'avait apprit a l'époque et j'ai pas le choix de dire qu'elle a trop raison, même les gens insultant, méprisant et arrogant pouvait être gentil sans sa bande qui lui faisait mauvais influence.

-Je ne les déteste quand même pas mais c'et juste que je ne vais pas vers eux.Ils ne m'inspirent confiance.Je suis solitaire depuis toute petite quand mes parents m'ont...abandonnée.

Ca c'est vrai!J'en veux beaucoup à ma mère de m'avoir abandonnée.Par contre le fait est que mes camarades de classe ne m'aiment pas.J'ai des bonnes notes, (sauf en géo) je ne suis pas très grande pour mon age, je n'ai plus de parents...Ils ne m'aiment pas, sans raison.Je me demande si Elassaria a compris que je ne disais pas toute la vérité.Mais bon je me débrouille bien seule.Je me raccroche au fait que je serai bientôt écuyer, puis chevalier.

-Je veux bien marcher, je me lance, as tu un écuyer de prévu?

Je sais qu'aucun chevalier voudrait de moi.Je parait faible mais bon on tente le tout pour le tout.J'ai l'impression qu'elle est inquiète pour moi.Elle n'a pas a s'inquiéter.Je suis très bien comme ca.

-Allons marcher pour parler.

Quand on marche, un silence pesant s'installe et je me rends compte tout d'un coup que j'ai oublier mon livre sur une roche de la rivière:

-Excusez moi mais j'ai oublié quelque chose a la rivière je serai de retour dans peu de temps,dis-je le plus poliment possible.

Je cours vers la rivière et je ne trouve plus le livre je me demande ou il est passé.Il n'a pas pu s'envoler.Je le retrouverai une autre fois tant pis.Je reviens en courant.

-Il a disparu.Mon livre.Tant pis allons y.

On commence a marcher.